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Anne-Charlotte Pontabry : icône mode et cuisine

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Actrice, mannequin, connue grâce à son personnage de “Victoire” dans la série Classe Mannequin, Anne Charlotte Pontabry est aujourd’hui une influenceuse incontournable sur Instagram. Elle partage avec sa communauté son style et ses recettes colorées et a publié deux livres de cuisine. Rewell est allé à sa rencontre.

Les débuts de Anne Charlotte Pontabry sur Instagram

Anne Charlotte Pontabry :

« C’était il y a presque dix ans, avec une première photo que j’ai postée de mon petit garçon. Il avait deux ans et demi. C’était l’été, on avait loué une maison en Provence, le lieu de mon enfance. Je voulais poster une photo par semaine à la manière d’un petit album de photos digital pour les quatre ou cinq personnes que je connaissais. Les choses ont changé pendant le confinement. Je postais régulièrement des photos de mes recettes et un jour, une fille m’a demandé de faire un live cuisine et ça a cartonné ! J’ai reçu plein de messages ! J’ai donc commencé à refaire des vidéos de mes recettes, et au fil du temps, les abonnées ont commencé à me demander un livre de ces recettes. Le premier livre est arrivé et le second a suivi un an après. Les choses se sont faites naturellement. J’étais très contente de partager ce que j’aime. En plus, j’adore faire des photos. Instagram pour moi, c’est une vraie petite télé. »

Morphologie, élégance : ses conseils mode

A.C.P :

« Je pense qu’il faut toujours essayer d’être élégante sans pour autant se prendre la tête. On a chacune notre style, en fonction de notre taille et de notre morphologie. L’idée, c’est de se sentir bien dans ses vêtements, d’être à l’aise, confortable et de se sentir jolie. On a toutes nos atouts et nos défauts, il s’agit de savoir composer avec tout ça pour se sentir bien. Avec cette petite rubrique qui m’amuse, je donne des idées, des petites inspirations. »

Rewell : Et ce matin, tu portes quoi ?

Anne Charlotte Pontabry :

« Un pantalon taille haute, très confort, une blouse avec des volants et des boots en daim noir, toutes simples. »

Changer de garde-robe à 50 ans, est-ce obligatoire ?

A.C.P :

« Pour moi, on ne s’habille pas pareil à tous les âges. Il y a des choses qu’on ne fait plus à 50 ans : tout ce qui est crop top, mini jupes, décolletés très plongeants… Quand j’étais très jeune, j’en mettais plus souvent mais maintenant, c’est fini. Je trouve qu’à 50 ans, il vaut mieux suggérer que trop montrer et… Rester classe ! »

Les recettes healthy et simples de Anne Charlotte Pontabry

Livre cuisine Anne Charlotte Pontabry

A.C.P :

« J’ai toujours aimé cuisiner. Je suis très gourmande et j’aime la bonne cuisine, simple, faite maison. Ma mère cuisinait, elle m’a toujours concocté des petits plats très faciles, surtout que j’étais une enfant très compliquée : je n’aimais rien. Encore maintenant, je fuis tout ce qui est plat cuisiné, acheté en barquette, tout fait, dit “traiteur”. Je ne traverse même pas ces rayons. Je n’ai jamais commandé, même quand mon frigo est vide, je préfère me faire un œuf à la coque. Ça a toujours été important pour moi de manger sainement. J’aime découvrir des recettes, des nouvelles saveurs et avoir la satisfaction de manger un plat qu’on a fait soi-même. »

Rewell : T’attendais-tu au succès de tes livres ?

Anne Charlotte Pontabry :

« Non, pas du tout ! Hier encore, j’étais à un dîner chez une amie et elle m’a surprise en posant mes deux livres sur la table, je ne savais même pas qu’elle les avait. Ça me touche beaucoup, parce que mes lecteurs sont autant des amis proches que des personnes que je ne connais pas du tout. Ce qui nous rassemble, c’est que nous sommes toutes des femmes qui aimons cuisiner, mais sans perdre 4 heures avec des choses trop compliquées ni avoir besoin d’une liste longue comme le bras. L’idée, c’est de faire des choses simples et bonnes, faciles pour sa famille, un dîner entre amis ou en amoureux. »

Rewell : Comment définirais-tu ton style de cuisine ?

A.C.P :

« Simple, rapide et plutôt végétal. J’ai, c’est vrai, peu de recettes avec de la viande et quelques-unes avec du poisson. Je fais de temps en temps des rôtis ou du poulet mais c’est plus rare.

Bien vivre la cinquantaine

A.C.P :

« On a plus confiance en soi, on se cherche moins, on s’est trouvé à priori. Bien sûr, ça peut être une période de divorce ou un moment de transition où les enfants s’en vont… Ce n’est pas toujours évident. En tout cas, à 50 ans, à priori, on s’est construite. C’est plus facile d’être en phase avec soi-même et de savoir ce qu’on vaut, ce qu’on est, ce qu’on aime, ce qu’on n’aime pas, ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus. Tout ça est nécessaire pour être bien dans sa peau. »

Rewell : Le bien-être a-t-il toujours fait partie de ton univers ?

A.C.P :

« Oui, grâce à ma mère. C’est elle qui m’a transmis ça : prendre soin de sa peau, se protéger du soleil, bien se démaquiller le soir. J’applique tous ses petits conseils depuis toujours. Je la remercie, parce que j’ai un bon capital génétique et que je trouve ça agréable de prendre soin de soi. Généralement, quand on prend le temps de s’en occuper, notre peau et notre corps nous le rendent bien. »

Rewell : Quelle est ta routine skincare du moment ?

A.C.P:

« Je me démaquille bien le soir. En ce moment, j’utilise des huiles et après mon double nettoyage, je termine toujours par un spray d’eau de source, appliqué avec un mouchoir. Tant que le mouchoir n’est pas tout blanc, je recommence. Il vaut mieux terminer avec une eau thermale qu’une eau du robinet qui peut contenir du calcaire. Après, j’applique un sérum, un contour des yeux et une crème de nuit. Pour les beaux jours, j’opte pour une crème avec un indice de protection, et quand il fait vraiment très beau, de la crème solaire. »

Rewell : Et côté sport, tu te situes comment ?

A.C.P :

« J’essaie de faire de la gym deux fois par semaine. Je ne suis pas la plus assidue. C’est une erreur, parce que, plus on avance, plus la masse musculaire diminue. Il faut manger des protéines et se muscler, je le sais et pourtant je ne le fais pas assez ! Par contre, je marche. Hier, j’ai fait deux tours de marche rapide au lac du bois de Boulogne avec une amie. Ça permet de papoter et de prendre l’air ! »

Audrey

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