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Pourquoi dire stop au sucre ?

pourquoi dire stop au sucre ?

Le rapport de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) est clair : le sucre n’a pas d’intérêt sur le plan nutritionnel et notre consommation ne devrait pas excéder les 25 g par jour. Pourtant, celle-ci avoisine les 100 g… Un bol de céréales, un jus pressé au petit-déjeuner, un sandwich à midi, une barre chocolatée au goûter, un plat surgelé le soir ou le petit burger-frites qui va bien… Avec un tel régime, nous mangerions du sucre toute la journée, parfois même sans nous en rendre compte.

Il est partout, omniprésent, parfois caché et même sans le vouloir, nous en consommons beaucoup trop. Pourtant, une chose est sûre : moins on en consomme, mieux on se porte. Rewell vous dit tout sur le sucre.

" Le sucre serait une drogue plus addictive que la cocaïne !"

Pourquoi limiter le sucre ?

Vous êtes du genre à ne pas pouvoir commencer une tablette de chocolat sans la terminer ? Voici quelques arguments qui pourraient faire mouche :

Primo, le sucre active les mêmes zones du cerveau que certaines drogues et agit comme une substance addictive. Une étude a été menée en 2003 sur des souris auxquelles on administrait de la cocaïne puis de l’eau sucrée. Etonnamment, les souris préféraient l’eau sucrée, ce qui signifierait que le sucre serait une drogue plus addictive que la cocaïne ! Donc, on peut aussi se désintoxiquer du sucre, le consommer autrement et retrouver sa liberté !

Deuxio, il n’apporte aucun nutriment à notre corps : uniquement des calories, beaucoup de calories… Autant dire qu’on se tire une balle dans le pied.

Moins d'insuline pour plus d'énergie

Un apport en sucre perturbe notre métabolisme en provoquant des pics d’insuline. Et puis s’en suit une chute brutale de glycémie. À la clé, tout ce qu’on gagne c’est une grosse fatigue. Moins de sucre signifie donc plus d’énergie !

Moins de sucre pour une peau plus jeune

De la même façon, prendre soin de sa peau et se ruiner en crèmes hydratantes ne sera d’aucune utilité si on ne freine pas ses pulsions sucrées. Le sucre accélère en effet le processus de vieillissement cutané, en rigidifiant le collagène et l’élastine, tous deux indispensables à la densité et l’élasticité de la peau. Il peut aussi être la cause d’un teint terne et sans éclat ainsi que de problèmes d’acné.

Moins de produits sucrés pour une meilleure santé

Plus grave, le sucre est désormais connu pour causer un certain nombre de maladies comme le diabète de type 2, l’obésité, les maladies cardiovasculaires sans oublier les caries. Les aliments sucrés ne font pas bon copain avec le pancréas. Le pancréas a pour mission de produire l’insuline et se voit trop sollicité en cas de surconsommation. Le sucre peut même aller jusqu’à endommager la paroi des vaisseaux sanguins et causer des infarctus et des AVC. Enfin, il aurait aussi un impact sur notre santé mentale. Des liens ayant été démontrés entre un excès de sucre dans l’alimentation et des troubles de l’humeur comme la dépression. On n’a plus autant envie de cet éclair au chocolat, si ?

Quels aliments supprimer ?

Il ne s’agit évidemment pas de supprimer tous les glucides mais plutôt d’arrêter de consommer en excès ceux qui ne nous apportent rien de bon… En premiers lieux, les sucres ajoutés aux aliments par la grande distribution notamment. On conserve, en quantité raisonnable, les aliments naturellement sucrés, toujours en essayant de privilégier ceux à indice glycémique bas. Par exemple, pour les fruits, on préfèrera les fruits rouges, les pamplemousses, les pommes ou les poires…

Un objectif : le moins de produits transformés possible

On sait que les boissons sucrées, les gâteaux ou les bonbons en contiennent trop, mais on a tendance à oublier que les aliments salés, transformés et ultra-transformés (présentant plus de sept ingrédients), en contiennent aussi. Et oui, pour nous rendre accros à ses produits, la grande distribution ne manque pas de nous rajouter quelques ingrédients bien sucrés et additifs. Bref, pas toujours simple de s’y retrouver… D’autant que le sucre se cache sous des appellations diverses ! On se méfie donc

  • des mots finissant en “ose” (dextrose, glucose, galactose, saccharose…)
  • des sirops (d’érable, de blé, glucose-fructose)
  • des jus (de canne, de fruits…)
  • du malt
  • des produits laitiers (lactosérum, lait écrémé en poudre), et évidemment du sucre (qu’il soit de betterave, de canne, de raisin…).

Le sucre se cache dans les plats tout faits, les sauces ou les céréales. En somme, le mieux c’est de lire les étiquettes !

Par quoi remplacer le sucre ?

On remplace le sucre par des matières grasses : les bonnes graisses (noix, graines, huile d’olive extra vierge, beurre de noix de coco, avocats oméga-3…) qui ne font pas grossir et fournissent l’énergie nécessaire tout en participant au bon fonctionnement de nos cellules.

On n’oublie pas, non plus, de faire la part belle aux protéines qui permettent de réguler la glycémie tout au long de la journée. Et on mange suffisamment pendant le repas pour ne pas se jeter sur le moindre encas sucré qui nous ferait de l’œil quelques heures plus tard. On fait aussi des courses « réfléchies” : rien ne sert de remplir son caddie de bonbons et de gâteaux pour devoir ensuite se raisonner et se frustrer, n’est-ce pas ?

Notre conseil : testez des recettes sans sucre. Remplacez-le par des dattes et des abricots secs mixés, pensez au miel, au sucre de coco, riche en micronutriments et à l’index glycémique est bas… En somme, amusez-vous !

Les bienfaits d'une réduction de consommation de sucre

Ces cultures qui consomment peu de sucre

Plusieurs populations à travers le monde ont été identifiées pour consommer moins de sucre et présenter un taux plus faible de maladies chroniques :

  • Celle d’Okinawa au Japon, connue pour sa longévité, base son alimentation sur les légumes, les patates douces, les algues et le poisson et consomme principalement les sucres naturels des fruits et légumes.
  • Les Massaï au Kenya et en Tanzanie : ce peuple nomade, éleveur de bétail, ne consomme quasiment pas de sucre. Son régime est riche en protéines et en graisse avec peu de produits transformés. De la viande pour les grandes occasions, du lait et parfois… un peu de sang ! Ils se nourrissent de beaucoup de plantes médicinales, de racines, d’écorces mais aussi de farine de maïs, de riz et d’haricots.
  • En Inde, dans les zones rurales, on se nourrit de légumes, de légumineuses et on consomme peu de sucre raffiné. Ces populations sont moins malades statistiquement que celles des zones plus urbaines, connues pour consommer plus de sucre.
  • Les Inuits du Groenland : leur régime initial était riche en protéines et graisses animales avec quasiment pas de sucre. Beaucoup d’acides gras oméga-3 et donc une très bonne santé cardiovasculaire.

Prendre exemple sur ces populations traditionnelles peut nous aider à envisager une autre façon de nous nourrir au quotidien. Alors, prêts à relever le défi ?

Juliette P.

Juliette P.

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