Parce qu’elle est aussi sympa et naturelle “en vrai” que sur Insta, nous avons été ravis d’accueillir Poussine alias Virginie Masclet sur Rewell !
44 ans, maman et globe-trotteuse
Poussine :
« J’ai 44 ans, je m’appelle Virginie et je suis aussi connue sous le nom de Poussine sur Instagram. Ma mère m’a surnommée ainsi quand j’avais trois mois. J’étais Son petit poussin”, après je suis devenue “Sa poussine” et c’est resté ! Chez moi, tout le monde m’appelle Poussine. Quand ma mère m’appelle Virginie, c’est que j’ai fait une bêtise ! Je suis maman de deux filles, une de 22 ans, et une de 8 ans. Je suis arrivée sur les réseaux un petit peu par hasard, j’ai commencé Insta en 2011, au tout début de l’application. Je partageais mes petites photos de voyages… Ensuite, j’ai créé un blog parce que c’était un peu la tendance et j’ai eu de la chance, il a tout de suite très bien fonctionné. Mais Instagram a vite pris le dessus : mon compte a explosé lorsque j’ai eu ma deuxième fille. Je suis tombée enceinte à 35 ans, l’aînée avait quatorze ans, donc forcément ça intriguait les gens. À partir de là, l’aventure a vraiment commencé, les marques ont commencé à s’intéresser à moi et c’est devenu mon métier à plein temps en 2017. »
Être un couple sur Instagram
Poussine :
« Je suis influenceuse « lifestyle », je touche à tout. Je pense que ma communauté me suit surtout pour mes voyages, mais je peux parler d’une recette que j’ai trouvée, d’une nouvelle fringue, de mes problèmes de maman. On parle de tout sur mon compte. Thibaut qui a le compte @the_bibiss est mon binôme ! Il a un petit côté agent et assistant. Il me donne des idées sur la création de contenu, c’est lui qui va monter des vidéos, il a un rôle primordial ! »
Ce qui inspire Poussine...
Poussine :
« Je vais parler de Mona Jafarian qui était au départ une créatrice de contenu Lifestyle, comme moi. Aujourd’hui, elle a créé l’association Femme Azadi et mène un vrai combat pour le droit des femmes en Iran. Elle montre qu’on peut être engagée tout en faisant de l’influence, et elle passe des messages très forts. C’est quelqu’un qui m’inspire énormément au quotidien. Il y a aussi Family Magic Plus, ils ont gagné la green card et vivent leur rêve américain. Je trouve ça hyper fort. Ils sont inspirants parce qu’ils ont tout quitté pour aller vivre leur rêve, et moi ça, forcément, je ne peux qu’aimer ! »
Pour Poussine : la famille avant tout !
Poussine :
« La base du bien-être pour moi, c’est le rire ! Si je passe une journée sans rire, je ne suis pas bien ! Chez moi, on est très fusionnels : s’il y en a un qui n’est pas bien, forcément ça va se répercuter sur les autres mais on arrive toujours à dédramatiser les choses. Pour faire en sorte que l’un aille mieux, on va le faire rire ! »
Rewell : Que souhaites-tu transmettre à tes filles ?
Poussine :
« Je souhaite leur transmettre que la vie est courte et surtout, on en a qu’une ! Il faut vraiment vivre le moment présent et profiter à fond de tout. Peu importe ce que les gens pensent, Il faut qu’elles se sentent bien et qu’elles soient bien avec ce qu’elles sont. »
Le voyage comme mode de vie
Poussine :
« Voyager, c’est vital pour moi… Je ne sais pas si c’est dû à mes origines, parce que j’ai des origines gitanes, mais j’ai toujours eu ce besoin de bouger. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens bien partout et j’ai besoin de voir ce qui se passe ailleurs. Je suis quelqu’un de très curieux. Notre prochain voyage, c’est dans quelques jours : on part complètement sur un coup de tête, pour faire un road trip sur la côte ouest du Canada, en camping-car ! »
Rewell : Quel est le bilan de votre voyage en Floride ?
Poussine :
« Le bilan de ce voyage, c’est que j’ai encore plus envie de repartir ! C’est ça, le problème quand on passe du temps dans un endroit qu’on aime ! Ce voyage, c’est presque une quête spirituelle… Vraiment, quand je suis là-bas, je sens que je suis complète. J’habite en Ile-de-France, et ce qu’il y a de mieux en Floride c’est la luminosité ! Il y a le soleil tout le temps et un certain lâcher-prise, un certain bien-être que je n’arrive pas à retrouver ici. Le bilan est donc toujours positif puisque finalement quand je rentre, je suis reboostée à fond pour pouvoir mieux repartir ! »
Il n'y a pas d'âge pour voyager
Poussine :
« Pendant longtemps, j’entendais « L’âge, c’est dans la tête ! » et ça me paraissait un peu abstrait. Aujourd’hui, à 44 ans, j’ai envie de dire : “Oui, l’âge c’est dans la tête”, parce que moi, finalement, dans ma tête, j’en suis quasiment au même stade que lorsque j’avais 20 ans. Je kiffe toujours autant la vie, je kiffe toujours les mêmes choses à part le fait que j’ai un petit peu plus mal au dos le matin quand je me lève, mais je me laisse porter et je continue d’être celle que je suis, sans penser au temps qui passe, et ça me permet de croquer la vie à pleines dents ! »
Poussine, une bonne vivante avant tout !
Poussine :
« Je ne suis pas un super exemple parce que j’aime la vie. Quand on aime fort la vie, on profite de tout, et je me dis que si être bien consiste à me faire un bon resto et que je dois prendre trois ou quatre kilos après et bien tant pis ! Je profite de l’instant présent. Mon bien-être passe par mes actions au quotidien. Je n’ai pas une routine skincare et je ne fais pas forcément très attention mais je me sens bien quand même ! »
