Social Media

Mettez votre boîte mail de bonne humeur !

Inscrivez-vous à notre newsletter

Thank you for subscribing to the newsletter.

Oops. Something went wrong. Please try again later.

Raphaëlle La Maman : l’influence avec 4 enfants

Play Video

Fraîchement arrivée sur les réseaux sociaux, Raphaëlle partage sa vie de maman de quatre enfants avec humour et tendresse. Une vie de famille énergique, créative et pétillante qu’on peut aussi retrouver sur le compte familial : @lafamille_._92 Pour Rewell, elle se confie sur son parcours PMA et sa vie de maman solo.

Un compte Instagram après 50 ans

Raphaëlle La Maman :

« Je suis une maman de 53 ans avec ses casseroles, ses victoires, ses combats… Tout ce que la vie a pu me réserver… C’est mon fils qui m’a dit, un jour : “Maman ce serait sympa que tu fasses une petite vidéo”. Je l’ai fait et spontanément, j’ai raconté la galère d’élever quatre garçons très turbulents, toutes les histoires de la CPE, des colonies de vacances, de leurs renvois… Nos changements de vie aussi : à un moment donné, j’en ai envoyé un en internat et l’autre chez son père… Si je suis là aujourdhui, c’est grâce à eux. Je suis très reconnaissante de tout ce qu’ils m’ont apportée. »

Maman grâce à la PMA : le parcours de la combattante

Raphaëlle :

« Je me marie et je décide d’avoir des enfants. Malheureusement, ça ne prend pas… On est allé voir un médecin qui nous a fait faire une batterie d’examens. On s’est alors rendu compte qu’il y avait un problème : on ne pourrait pas avoir des enfants naturellement, sous la couette. On a commencé par des inséminations, mais elles n’ont pas marché. Je suis alors entrée dans un des plus gros combats de ma vie : cette difficulté à accéder à la maternité. J’entendais des annonces de grossesses partout autour de mois, je voyais des bébés arriver, et moi j’étais là avec mon calendrier… Je regardais à quel moment on allait me faire les piqûres, à quel moment j’avais rendez-vous avec tel ou tel médecin… C’est dur parce qu’on travaille uniquement sur le corps de la femme. On est à sa merci. Donc les douze jours après qu’on t’ait réimplanté tes embryons, t’as qu’une trouille, c’est d’avoir tes règles. Tu regardes sans arrêt et tout s’écroule quand ça ne marche pas. Tu pleures pendant 48 heures. Et puis un jour… J’ai fait une fécondation in vitro. Je me suis dit : « celle-là c’est la dernière, j’en peux plus ». J’ai fait ma prise de sang et je suis partie travailler. J’avais dit à mon mari de m’appeler uniquement si c’était positif. Il m’a appelée en début d’après-midi, pour me dire : « T’es enceinte ». J’étais agent de voyage et j’avais un client devant moi, je n’avais qu’une envie c’était qu’il se barre et que je puisse hurler !!! J’ai eu mon premier garçon, Samuel. Plus tard, j’ai refait des fécondations in vitro pour les autres. Je suis tombée enceinte des jumeaux quand l’aîné avait deux ans. Aujourd’hui j’ai quatre garçons. Ça marche finalement très, très, bien la PMA ! »

La vie de maman solo après un divorce difficile

Raphaëlle La Maman :

« Dans la famille dans laquelle j’ai grandi, se marier était presque une fin en soi. Mais dans mon couple, il y a eu trop de bas, et je suis partie avec trois enfants en bas âge. Le divorce n’a pas été facile. C’est un de mes plus grands regrets : ne pas avoir réussi mon divorce. Mes enfants me le balancent parfois et j’accepte… Ce n’était pas évident. Et on navigue un peu à vue entre les gardes, un week-end sur deux, les vacances, les fins de mois difficiles… Il y a beaucoup de papas solos aussi, mais ce sont les femmes les plus courageuses, vraiment, celles qui élèvent leurs enfants seules. Ça n’a pas toujours été facile, mais j’ai réussi à garder une vie sociale et à me sentir bien. J’ai été maman solo deux ans. On était seulement entre nous et j’avais besoin de ça pour me reconstruire. »

Garder le lien avec de “grands enfants”

Raphaëlle La Maman :

« Le matin, à la table du petit déj, je leur demande comment ils vont. Je fais attention à ce qu’ils regardent sur leurs téléphones, je m’intéresse à eux. C’est à nous, parents, d’entrer dans leur univers. Je pense qu’on a beaucoup à apprendre de nos enfants. »

La transmission mère-fils

Raphaëlle La Maman :

« J’ai à coeur de leur transmettre d’où ils viennent, je leur parle aussi de leurs origines, parce que je pense que pour savoir qui on est, il faut savoir aussi d’où on vient. Bien sûr, je leur apprends la politesse, l’altruisme, la bienveillance, la gentillesse et la confiance en eux. Je leur dis souvent : “tout ce que tu fais, c’est bien !”. Je pense qu’on doit leur transmettre ça dès le plus jeune âge. J’aurais adoré qu’on ait confiance en moi comme j’ai confiance en eux. Je suis fière d’eux, mais vraiment, « premier degré » comme ils disent ! »

Le secret d’une famille recomposée

Raphaëlle :

« Les enfants n’ont rien demandé. Alors, le secret c’est de les consulter, de voir avec eux quel rôle va jouer la personne qui rentre dans leur vie. On compose… C’est pas toujours évident, mais ça marche. Je suis très heureuse que mon mari ait croisé ma route. Il m’a vraiment aidée à élever mes enfants et il m’aide encore aujourd’hui. »

Raphaëlle la maman et ses 3 fils
Source : @ lafamille_._92

La vie après 50 ans pour Raphaëlle
La Maman

Raphaëlle :

« Je n’ai pas trop eu le temps de me concentrer sur mes 50 ans. C’était l’année du Covid, j’ai perdu mon travail. Je me disais « Merde, qu’est-ce que je vais faire ? ». J’ai d’abord fait du tatouage, après j’ai été make-up artist, puis j’ai fait de la transformation de bijoux, et j’en fais encore… Ensuite, je suis arrivée sur les réseaux sociaux… La cinquantaine a été une période de reconstruction professionnelle. Il y a aussi la ménopause ! Il faut en parler, dédramatiser le truc ! C’est un vrai sujet, mais les femmes peuvent se prendre en main. Je suis de nature plutôt hyper positive. C’est un privilège de vieillir. J’ai une chance incroyable de vieillir, de grandir, avec mes enfants. Il faut croire en ses rêves et aux opportunités qui se présentent. Il faut savoir les saisir. Donc oui, on se réinvente en permanence et surtout à 50 ans. Je m’éclate et je n’en suis qu’au début ! »

Coquetterie, gourmandise et régimes yo-yo

Raphaëlle :

« J’aime le maquillage, la coiffure et la mode. Je suis très coquette. Je me maquille le matin, je me démaquille le soir, je mets la crème contour des yeux, enfin la totale ! Je suis très gourmande aussi. Je prends du poids, je perds du poids, je prends du poids, je perds du poids… C’est l’histoire de ma vie… Je mange léger le soir et depuis peu, j’enlève vraiment tout ce qui est farine blanche et je marche. Parfois j’ai envie de rester sous la couette, mais je me force à aller marcher et ça fait du bien. »

Audrey

Audrey

Découvrez nos actualités en exclusivité !

Inscrivez-vous à la newsletter Rewell !

Thank you for subscribing to the newsletter.

Oops. Something went wrong. Please try again later.

Trending Now

Vous devriez aussi aimer...

natacha calestreme

Commentaires

Votre commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *